SPIE, leader européen indépendant des services multi-techniques dans les domaines de l’énergie et des communications, a rejoint l’alliance européenne pour une relance verte en mai 2020. Cette alliance a été lancée à l'initiative de Pascal Canfin, eurodéputé et président de la commission de l'environnement du parlement européen. Dans ce cadre, décideurs politiques européens, chefs d'entreprise, organisations professionnelles, syndicats et think tanks appellent aujourd’hui les États-Unis à réaliser leurs ambitions en adoptant un objectif climatique de réduction d'au moins 50 % des émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030 (par rapport aux niveaux de 2005). Un appel qui a été cosigné par SPIE, car il est conforme à ses engagements de longue date pour atténuer le changement climatique.
Avec 45 500 collaborateurs, SPIE est un acteur de la transition énergétique et de la transformation numérique.
SPIE s’engage à réduire de 25 % son empreinte carbone directe à l’horizon 2025
En mars 2020, SPIE a annoncé son objectif de réduire les émissions de gaz à effet de serre générées par ses activités (scopes 1 et 2) de 25 % à l’horizon 2025 (par rapport à l’année base 2019). Les émissions de gaz à effet de serre de SPIE seront ainsi ramenées en deçà de 100 000 tonnes, contre 133 000 tonnes en 2019. Pour réduire ainsi ses émissions, le groupe procèdera à la conversion de plus d’un tiers de sa flotte de véhicules à l’électrique, et à l’amélioration de l’efficacité énergétique de son parc immobilier. Cet objectif a été défini en se fondant sur le scénario du Science-Based Target Initiative limitant le réchauffement climatique à 1,5°C.
SPIE est du côté de la solution dans la lutte contre le changement climatique
En 2020, 41 % de la production de SPIE a été réalisée dans des activités durables selon la taxonomie européenne. Le Groupe contribue à la lutte contre le changement climatique, principalement en réduisant l’empreinte carbone de ses clients, les aidant ainsi à atteindre leurs objectifs de neutralité carbone. La contribution du Groupe s’articule autour de trois piliers de la transition énergétique : l’amélioration de l’efficacité énergétique, le soutien à l’évolution du mix énergétique et la promotion de l’écomobilité. SPIE a commencé il y a un an à mesurer la part verte de ses activités selon la taxonomie européenne des activités durables, et figurait alors parmi les toutes premières sociétés cotées européennes à le faire. La part verte de la production de SPIE a progressé, passant d’environ 35% en 2019 à 41% en 2020. Cette progression reflète une amélioration de la performance de SPIE (+3 points de pourcentage), ainsi que des précisions et ajustements apportés à la taxonomie européenne par le Groupe d’Experts Techniques (‘TEG’) entre les deux calculs (+3 points de pourcentage).
« Dans la lutte contre le changement climatique, SPIE est clairement du côté de la solution. En témoigne la part verte du chiffre d’affaires 2020 estimée à 41 % en utilisant la taxonomie européenne. Notre contribution se concentre sur l’efficacité énergétique, l’écomobilité et la transition vers les énergies renouvelables. Ces moteurs de croissance à long terme sont au cœur des futurs plans de relance européens. » déclare Gauthier Louette, président-directeur général de SPIE, et signataire de l’alliance européenne pour une relance verte.
Contacts
-
Pascal Omnès
Directeur de la communication Groupe Tel. :+33 (0)1 34 41 81 11 E-mail :pascal.omnes@spie.com